Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Mon chez moi
6 octobre 2011

Pas top

Mon ange est pas bien ce jour état de mal déjà cette nuit quand mon zom est venu se coucher , elle était excitée dans son lit et ce matin main moites , regard dans le vague pas  manger , pas bu . Pas de douche trop peur qu'elle tombe une bonne toilette au dodo (elle aime ça ) puis câlins mais toujours aussi molle ,j'aime pas la voir ainsi elle qui remue tant , je lui ai donné un 1/2 valium en cp en plus mais ça  fait des merveilles . Tantôt elle est venue avec nous au champs prendre l'air dans son fauteuil elle a eu ces petites rouges mon ange ;) Elle a bien mangé ce soir et joué au sol avec ces jouets , je viens de la mettre au dodo toujours dans le m^me état on verra demain ............. Journée sans pour elle ainsi va sa vie

 

L'épilepsie (également nommée comitialité, mal comitial, haut mal, mal caduc ou mal sacré), est une affection neurologique caractérisée par des crises d'épilepsie, symptômes soudains, se caractérisant par une hyperactivité cérébrale paroxystique pouvant se manifester par des convulsions ou une perte de conscience, voire par des hallucinations complexes inaugurales (visuelles et/ou auditives et/ou somesthésiques), avec ou sans convulsions, mais ce n'est pas une maladie mentale, contrairement à l'image qu'on peut avoir des malades.

L'image de maladie mentale qui lui est souvent associée est due au fait que, au cours des crises, certains malades peuvent présenter des troubles du comportement, mais l'épilepsie n'altère en rien les capacités intellectuelles. Une fois sur deux, elle débute dès l'enfance.
Les causes en sont multiples et encore mal comprises. On sait que la fatigue, le stress physique et/ou psychique, les excitants (alcool, tabac, café, thé), certains bruits permanents ou anormaux, l'éclairage stroboscopique ou le jeûne peuvent favoriser l'apparition d'une crise.

Selon le professeur René Soulayrol, « les atteintes du corps, la honte des chutes, la confiscation du temps, la limitation des plaisirs, le voile sur l'intelligence, les entraves à la liberté, le rejet des autres, les difficultés scolaires, la peine des parents participent à la souffrance des personnes épileptiques. ».

Il n'existe pas une mais des épilepsies. La diversité interindividuelle porte non seulement sur les causes ou origines des troubles ou sur la localisation cérébrale des dysfonctionnements électriques, mais également sur la plus ou moins grande résistance aux traitements, la diversité des crises induites, leur rythme, le handicap généré, leurs conséquences sociales, leur évolution et leur prise en charge.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Mon chez moi
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Newsletter
Pages
Publicité